
★★★★☆
Cher lecteur,
je te préviens ici que cette chronique est bourrée de spoiler. Parce que parler du tome 4 d’une série sans rien spoiler relève de l’impossible (enfin si, mais ça serait sans le moindre intérêt pour toi) (et une galère à écrire pour moi).
Si tu veux découvrir Outlander, tu peux consulter mon article sur le premier tome : cliclic
Et pour que tu n’aies pas totalement perdu ton temps (en même temps c’est toi qui a cliqué sur un lien annonçant des spoiler…) j’ai la joie de t’annoncer que je pars 4 jours en Ecosse en décembre. Et donc je ne suis que surexcitation et tu vas voir passer beaucoup de photo dans les prochains jours.
Et à bientôt pour la prochaine chronique ! (que tu auras le droit de lire, promis)
Si tu as lu les 3 premiers tomes… mais aussi celui-ci parce que je spoile quand même pas mal, tu peux aller lire après l’image ci-dessous.

Salut toi, qui a déjà lu 4 tomes… soit plus de 4000 pages consacrées à Claire, Jamie et les paysages magnifiques d’Ecosse. (voir plus…)
Si comme moi tu as survécu au trip sous acid que représente le tome 3, tu as dû apprécier le confort de ce tome 4. Le fil narratif retrouve un rythme normal (humain, dirais-je).
Par contre niveau décors j’ai été un peu perdue… je n’ai pas vraiment signé pour le quotidien du colon américain… mais je m’y sui faite (surtout quand il a été question d’indiens, je trouve ça très interessant).
En fait jusqu’à la page 450 (voir 490) je me suis un peu ennuyée. Pourquoi avoir tenu quasiment 500 pages ? parce que j’ai de l’espoir, beaucoup d’espoir, dans cette série.
En fait en lisant ces 500 premières pages je me suis rendu compte qu’Outlander est une sorte de cocon confortable. Je me demande jusqu’où Diana Gabaldon pourrait aller avant que je ne décroche.
Et puis d’un coup il s’est passé des choses !
Roger et Brianna ont décidé de faire un petit saut à Craig Na Dunh. Et visiblement ils voyagent dans le temps comme moi je prends l’avion (avec un peu d’anxiété mais au final ça se passe bien).
Je trouve quand même que ces deux là s’adaptent hyper bien à leur nouvel environnement… Claire était un peu perdue à son arrivée, certes c’était un accident mais Brianna et Roger se baladent en 1770 comme si de rien n’était.
Au final je me suis bien habituée à Fraser’s Ridge, même si je regrette un peu les Highlands. Gabaldon nous installe tranquillement dans la transition en introduisant Brianna et Roger (enfin je pense… Jamie et Claire ne sont pas éternels et il reste 4 tomes…), ces 900 pages se sont tournées toutes seules et j’ai toujours envie de connaître la suite !