★★★☆☆
Je commence par remercier les Editions Charleston pour l’envoi de ce roman ! (Et oui, Lectrice charleston un jour, lectrice Charleston toujours)
Le bandeau rouge en bas de cette couv est parfaitement bien choisi !
J’ai passé un excellent moment en lisant ce roman (même si lire un roman grand format dans le métro peut s’avérer une véritable épreuve).
Alors oui, l’intrigue est cousue de fil blanc. J’ai compris aux alentours de la page 30 comment allait se finir ce livre (enfin presque). Mais j’ai malgré tout beaucoup aimé suivre les péripéties de Viola, qui cherche à se reconstruire après le décès de son mari.
Déjà j’adore l’idée de l’herboristerie, ancienne, tenue par une dame d’un certain âge. Ca représente une sorte de rêve, j’aimerais y trainer et récolter des conseils avisés d’une herboriste (Aromazone, ça manque un peu de charme).
Et ce livre regorge de conseils de cosmétiques et de tisanes naturelles (euh par contre, il y a une recette avec de la cannelle et personne ne dit à quel pour s’est allergène, donc faites attention quand même).
Viola, pour poursuivre les travaux de son mari, étudie l’iridologie, je n’ai pas tellement accroché ce concept (apparemment on pourrait lire des traumatismes anciens dans les taches de notre iris… même des choses remontant à plusieurs générations… j’ai du mal) mais même si c’est une partie importante du roman, c’est largement compensé par les conseils sur les plantes !
Une lecture parfaite pour les beaux jours, et pourquoi ne pas profiter de l’été pour tester les recettes naturelles proposées tout au long de l’ouvrage ?