L’Affaire de  la belle évaporée

 ★★★☆☆

Quand les éditions Baker Street (via LP conseil… Merci !) m’ont contactée pour me proposer un livre qui se passait à New York, au temps de la prohibition et qu’en plus il y avait une enquête j’ai forcement accepté (j’adore cette concordance époque/lieu et je suis toujours friande d’enquête qu’elle soit policière ou amateur).

JJ Murphy plante un décors agréable, un hôtel cossu dans les années 1920, une soirée qui s’annonce bien (et arrosée malgré la Prohibition). Et « grâce » à la quarantaine mise en place pour cause de variole l’enquête qui va se dérouler à huis clos, particularité qui ajoute du piquant !
L’auteur mêle des personnages fictifs à des personnages bien rééls, ce qui nous vaut la présence d’Arthur Conan Doyle (et de toute un série de répliques amusantes d’un apprenti détective qui ne l’a pas reconnu).

L’enquête n’est pas haletante mais intrigante, il y a beaucoup de rebondissements et on se laisse porter à travers le récit par des personnages hauts en couleur, le tout relevé par une forte dose d’humour.

Ce roman m’a fait passé un bon moment mais je ne pense pas qu’il me marquera longtemps. Je pense tout de même que je lirais le premier tome un jour ou l’autre, même si le fait que ce soit un second tome ne pose pas de problème à la compréhension du roman, c’est toujours un peu frustrant de savoir que les personnages ont eu une vie avant ce qu’on lit (et qu’on y a accès à travers un livre de poche, parce qu’habituellement les personnages ont une vie avant ce qu’on lit mais elle reste prisonnière de l’esprit de l’auteur !)

 

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