(et vous allez le constater, il inaugure un mois de non-fiction sur Page 53 !)
Ce livre est très intéressant dans la mesure où par l’analyse de mouvements de guérilla de différentes natures (les méthodes de Gandhi ne sont pas applicables contre toute forme d’oppression) et dans différents endroits du globe (les théories du Che reposent en partie sur un particularisme régional de l’Amérique latine) on peut voir l’évolution de la théorie et de la pratique de la guérilla au fur et à mesure des nouveaux « coup ».
Et cela met en lumière différentes problématiques actuelles, les chapitres sur les drones font froid dans le dos.
J’ai beaucoup aimé découvrir plus en détail les méthodes de guérilleros connus (Gandhi et Guevara par exemple, dont on parle machinalement sans vraiment connaître les fondements de leurs démarches) et découvrir d’autres histoires de guérilla, qui mettent en perspective l’évolution des méthodes qui aboutissent presque « naturellement » à la situation actuelle.
Petit bémol sur la forme : je sais comment fonctionne l’édition, je ne dis donc rien pour les coquilles, qui dans un nombre raisonnables sont « normales »… mais pas les « malgré que ». Je suis restée bloquée à 2 reprises sur cette faute, lisant et relisant la phrase en me disant que je devais m’être trompée…
Et les notes de bas de page interminables. Si une note fait 2 fois une demi-page (j’ai aussi un gros problème avec les notes qui courent sur plusieurs pages. Surtout si elles font 3 lignes), n’est-ce pas que le propos aurait mérité d’être intégré au corps du texte ?
Ce roman a l’air très intéressant, mais j’avoue que les « malgré que », outch ! ça n’envoie pas du rêve
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Ce n’est pas un roman ! Pour une fois j’ai lu un essai… Ça ne m’était presque plus arrivé depuis la fin de mes études mais j’y reprends goût peu à peu
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Oui, c’est vrai qu’avec une cinquantaine de pages, ça ne peut pas être un roman – terme que j’utilise d’ailleurs beaucoup trop ^^ »
J’aime bien de temps en temps lire ce genre de livre, mais c’est vrai que ce n’est pas ce qui me vient d’emblée en idée de lecture.
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Il fait presque 300 pages…
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Oh mon Dieu!
Les notes de bas de page! J’ai eu le même problème avec « Jerusalem ». Pour ma part, je pense comme toi que quelques fois, mieux vaut intégrer au texte principal ce qui est dit. Vu que c’est là, c’est que ça doit être important! 🙂 Hâte de voir tes prochaines chroniques de non-fiction!
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Ouch, j’aime pas les bas de pages ! mdr
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